Internet en général et les réseaux sociaux en particulier regorgent de personnages singuliers, que l’on peut parfois aisément caricaturer. Après les 10 types d’accros aux réseaux sociaux ou encore les 11 types d’utilisateurs Facebook, voici donc les 36 types de fans Facebook, une présentation réalisée par l’agence Soap Creative. Les parodies de ce genre sont légion mais on ne s’en lasse pas ! Même si le trait est volontairement grossi, on retrouvera tout de même beaucoup de réalité dans ces portraits… Une traduction en français est disponible sous la présentation.
– Le prems’. Il vit pour une seule chose : être le premier à commenter une publication. Il n’a de cesse de parcourir son fil d’actualité pour trouver de nouveaux posts, puis il laisse une seule contribution à la conversation « LOL Prems je sui le meilleur ».
– Le chasseur de prems’. Celui-ci est bien décidé à ne pas laisser le prems’ s’amuser. Il commentera lourdement au début d’une conversation pour être sûr que les prems soient bien conscients qu’ils craignent vraiment, et après il quittera la discussion.
– Le hater. Il n’y a rien qui convienne vraiment à cet utilisateir. Même si vous annoncez qu’un remède contre le cancer à base de chocolat a été trouvé et que celui-ci est administré par des petits chiots, il trouvera quelque chose à y redire et écrira un commentaire au vitriol sur votre page fan.
– Le hater civilisé. Bien souvent sa plainte sera de la longueur d’une thèse, incroyablement passive-agressive, et finira avec des milliers de « like ».
– Le compétiteur. Ce fan joue sur les antagonismes de marques pour s’attirer des réponses. Par exemple : « La PS3 ses la meilleure, la XBOX est nulle »
– Le prems’. Il vit pour une seule chose : être le premier à commenter une publication. Il n’a de cesse de parcourir son fil d’actualité pour trouver de nouveaux posts, puis il laisse une seule contribution à la conversation « LOL Prems je sui le meilleur ».
– Le chasseur de prems’. Celui-ci est bien décidé à ne pas laisser le prems’ s’amuser. Il commentera lourdement au début d’une conversation pour être sûr que les prems soient bien conscients qu’ils craignent vraiment, et après il quittera la discussion.
– Le hater. Il n’y a rien qui convienne vraiment à cet utilisateir. Même si vous annoncez qu’un remède contre le cancer à base de chocolat a été trouvé et que celui-ci est administré par des petits chiots, il trouvera quelque chose à y redire et écrira un commentaire au vitriol sur votre page fan.
– Le hater civilisé. Bien souvent sa plainte sera de la longueur d’une thèse, incroyablement passive-agressive, et finira avec des milliers de « like ».
– Le compétiteur. Ce fan joue sur les antagonismes de marques pour s’attirer des réponses. Par exemple : « La PS3 ses la meilleure, la XBOX est nulle »
– Celui qui parle d’une voix traînante. Ce fan… souffre… d’une addiction… à l’ellipse… OK…
– Celui qui se souvient. Il est comme un ex nostalgique : il a de très belles envolées lyriques concernant le bien qu’il pensait de votre produit à une époque, mais ne semble pas vouloir renouveler la relation. Mais s’il le fait, il postera des plaintes sur le fait que c’était bien mieux avant.
– Le rebelle sans cause. L’indignation sans l’argumentation ! Ces révolutionnaires en mousse sont plus que ravis de monter au créneau quelles que soient les revendications, attaquant votre marque sans vraiment savoir quel est le problème.
– Le commentateur distrait. Il laisse des messages destinés à sa famille sur votre page fan : il n’était pas très concentré sur ce qu’il faisait avant de cliquer sur « Envoyer » !
– Le Keyboard Cat. Cet enchaînement aléatoire de lettres et de signes de ponctuations posté sur votre page fan est impossible à déchiffrer, et c’est sans doute l’oeuvre d’un fan bourré, d’un chat, ou d’un chat bourré.
– Le spammeur. L’existence perpétuelle de partage de spams prouve bien qu’un abruti s’inscrit sur Facebook toutes les minutes.
– Le cauchemar des juristes. Son amour pour votre marque est sans limite. Il poste sur votre page fan des vidéos de lui en train de goûter son déodorant préféré, ou des photos de lui couvert uniquement de vos produits. Une crise cardiaque pour votre département juridique !- Le clavier qui colle. Il déclare son excitation en répétant les lettres et les signes de ponctuation C’eeeeeest vraiiiiiiiiment ennnnnnnnnuyeuuuuuuux !!!!
Celui qui a le droit. Il a oublié comment fonctionne le commerce. Pour lui, être fan sur Facebook mérite bien une compensation. Il a le droit à un cadeau !
– Le magicien. Il a écrit à l’envers sur votre mur ! Ne lui demandez pas comment il a fait, à moins que vous ne soyez imperméable à la suffisance.
– Le campagnard. Ce fan veut que tout se passe dans sa cour. Peu importe si votre promotion a lieu à l’autre bout du pays ou juste à quelques arrêts de bus, cela pourrait tout aussi bien se passer sur la Lune.
– Le « Sponsorisez-moi ! » Il voudrait bien être récompensé de sa maîtrise d’une compétence inutile. Ces apprentis-athlètes peuvent être généralement trouvées sur les pages de marques prisées par les jeunes gens.
– Le wannabe-modérateur. Les community managers se réjouissent quand un wanabee-modérateur rejoint la page fan. Il répond aux questions, canalise les trolls, sans rien en échange, à part sa satisfaction personnelle. Pas de panique s’il commence à se sentir un peu trop à l’aise : vous pouvez toujours le bannir !
– Le vieux L33t aigri. On le trouve plutôt sur des pages orientées high-tech. Il passe son temps à marmonner sur le temps où il devait « marcher 8 kilomètres sous la neige pour aller « poker » quelqu’un ».
-Le génie. Il délivre les suggestions les plus égoïstes sur la façon dont vous pourriez améliorer votre produit, quel qu’il soit.
-Le déprimant. Le soleil ne perce jamais à travers les nuages pour ce fan. En surfant d’une page fan à l’autre sur une vague de larmes, ce rabat-joie arrive à ôter le fun de n’importe quoi, du concours à un simple commentaire, avec sa négativité incessante.
– Le trop-fainéant-pour-lire. Peu importe si votre publication était vraiment bien écrite et intéressante : ce fan ne lit jamais. Peu importe si vous avez déjà donné la réponse à sa question de nombreuses fois auparavant : il a tout ignoré. Il faut vraiment lui apporter les informations sur un plateau.
-L’impatient des photos. Vous avez organisé un événement où un photographe était présent ? Alors préparez-vous pour ce fan ! Il vous assaillira de commentaires pour savoir si les photos sont déjà visibles, vous faisant regretter le temps où les appareils photos numériques n’existaient pas.
-Le noob. Ce fan ne possède que très peu de connaissances en technologies, ce qui veut dire que toute tentative de le faire participer à autre chose qu’à un clic sur « J’aime » se soldera par un « Ca ne marche pas !!!! »
-Le radin. « 2,50 euros ? Sérieusement ? » Même si votre marque casse les prix, ce fan ne sera pas content.
-Le fan obsédé. Parmi toutes ces personnes très négatives, le fan obsédé apparaît comme une bouffée d’air frais. Ces paroles positives envers votre marque vous mettent du baume au coeur. Cependant, si son engagement tourne à la manie, cela peut vite devenir un cauchemar.
-L’expert des médias sociaux (caché). Un seul petit dérapage, et cet expert va venir remuer le couteau dans la plaie. Même s’il poste avec son compte perso, ce stratège de fond de tiroir va assaisonner ses plaintes de buzzwords pour bien montrer qu’il est un pro des médias sociaux.
-Le chercheur de produits gratuits. Que vous vendiez des glaces, des vêtements, des voitures de luxe ou des organes au marché noir, ce fan vous bombardera constamment de requêtes pour des échantillons gratuits.
– Le troll. Est-il encore besoin de le présenter ? A bannir immédiatement !