Près de 7 étudiants sur 10 utilisent les réseaux sociaux professionnels pour se construire leur propre réseau, et 63 % d’entre eux s’en servent pour se faire connaître par des professionnels du secteur d’activité visé, révèle un sondage CSA pour 20Minutes et LinkedIn.

Les étudiants et les jeunes diplômés misent de plus en plus sur les réseaux sociaux pour leur insertion professionnelle.
Les réseaux sociaux riment plus que jamais avec jobboards 2.0. Nouvelle preuve en est avec le tout dernier sondage réalisé par CSA pour LinkedIn et 20Minutes. Celui-ci révèle en effet qu’une écrasante majorité d’étudiants et de jeunes diplômés passent désormais par ces outils pour construire leur parcours professionnel.
Les réseaux sociaux pour se construire… un réseau
Ce sondage affirme ainsi que près de 7 étudiants sur 10 utilisent les réseaux sociaux pourconstruire leur réseau. Cette proportion atteint plus de 8 élèves sur 10 (81 %) dans les grandes écoles.
Les étudiants les utilisent également à d’autres fins. Ainsi, 63 % d’entre eux s’en servent pour se faire connaître par des professionnels du secteur, 61 % pour s’informer sur une entreprise, 55 % pour proposer son profil à l’échelle internationale, ou encore 54 % pour être contacté par les recruteurs.
Un tiers des jeunes dip’ s’en servent pour leurs entretiens
Du côté des jeunes diplômés, une même importance leur est accordée, avec des objectifs un peu plus variés. 69 % les utilisent pour rester en contact avec leurs amis ou des connaissances, et cette part atteint 80 % pour les diplômés d’une grande école. Construire son réseau arrive en deuxième position (66 %), talonné par le fait de se faire connaître des professionnels de son secteur et de s’informer sur une entreprise (62 %). A noter que près d’un tiers des jeunes diplômés s’en servent pour préparer ses entretiens d’embauche.
Un optimiste relatif quant à l’avenir
Cette étude aborde également les aspirations professionnelles des étudiants et des jeunes diplômés. Il en ressort que, si les jeunes apparaissent majoritairement confiants sur leur avenir professionnel, leur optimisme décroît à mesure qu’ils entrent sur le marché du travail. 80 % des étudiants des grandes écoles affirment ainsi être optimistes pour leur avenir professionnel, contre « seulement » 54 % des inscrits en licence universitaire…