Stephane OZIL nous presente le cas d’un bas buzz aupres de la SNCF.
L’une des craintes des entreprises au moment de débuter un travail de communication web via les réseaux sociaux reste celle du bad buzz, c’est à dire d’avoir à gérer sur l’une de leurs pages (souvent Facebook) les incriminations publiques d’un client ou utilisateur mécontent. Cette crainte est fondée, et ce cas de figure doit bien sûr être non seulement envisagé, mais aussi anticipé, pour que l’entreprise ne soit jamais prise au dépourvu. Cela dit, l’argument de l’anticipation n’est pas le plus efficace contre la crainte des bad buzz : la réalité, c’est qu’un bad buzz bien géré peut rapidement tourner à l’avantage de l’entreprise attaquée. Cas pratique avec l’exemple récent de la SNCF.
Découvrez la réponse de la SNCF auprès d’un usager mécontent : http://ozil-conseil.com/reseaux-sociaux-faut-il-avoir-peur-des-bad-buzz-cas-pratique-sncf/
Source : OZIL Conseil